25 septembre 2010
Cycle
La roue tourne mon frère, ton règne s'achève
il est tant de mettre
fin à cette trêve.
Il t'as cru dans innocence,
Et tu l'as dupé
dans son arrogance,
Quatre, nous étions, et quatre nous serons
l'axe
parfait de l'Evangélion
Tu aurais du écouter la Providence,
Elle,
qui t'avertissait de ta décadence.
La roue tourne mon frère, ton
règne s'éteint
N'entends tu pas le souffle de la fin ?
Le rideau
se fermera sur la scène
Invitant à une vie plus saine.
Si nous
battre est la destinée
Meme si c'est toi mon frère que j'ai tant
aimé,
Cette fois, je ne reculerai pas,
Et s'il le faut, de quatre,
nous serons trois.
A nouveau je respirais la fraicheur du matin
A
nouveau nous nous tendrons la main
Pour enfin regarder plus loin
Publicité
Publicité
Commentaires